Voltaren, l'une des marques sous lesquelles le diclofénac (acide aminéacétique, son principe actif) est commercialisé, est l'un des médicaments considérés comme «inhibiteurs», c'est-à-dire qu'il aide à la désinflammation progressive des zones touchées par des ecchymoses ou des douleurs intenses. C'est un micro-relaxant, qui fait partie de la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), qui aide également à soulager l'inconfort causé par l'arthrite et les crampes menstruelles. Il peut être administré par voie orale, rectale, intramusculaire, intraveineuse (rein et calculs), topique.
Son mécanisme d'action n'a pas été officiellement déterminé, seule une série de théories est apparue sur la façon dont il pourrait empêcher la désinflammation; Ce que l'on sait, c'est son mécanisme principal, par lequel il est capable de réduire la douleur et l'inflammation, consistant en la désactivation de l'enzyme cyclooxygénase (COX), ce qui pourrait également contribuer aux effets ultérieurs. Il peut diminuer la synthèse des prostaglandines dans l'estomac, ce qui provoque une action assez agressive des acides gastriques sur les parois de l'estomac, créant des ulcères dans cet organe.
Le métabolisme de ce médicament se produit dans le foie et lors de son excrétion, presque aucun des restes qui laissent n'est inchangé, c'est-à-dire ceux qui, s'ils passent par cette étape, restent à l'intérieur du corps et restent pendant quelques semaines ou quelques mois. L'urine est l'un des moyens par lesquels ce médicament peut être expulsé, tout comme la bile. Il n'affecte en aucun cas les reins, car il ne s'agit pas d'une voie de désintégration; pour cette raison, il n'est pas nécessaire d'adapter la dose maximale si un patient souffre de cette maladie.