Le mot testamentaire est utilisé dans le contexte juridique, pour définir les documents impliqués dans l'exécution ou le paiement d'un héritage, de la même manière qu'il est lié aux biens qui composent une succession pendant la période qui s'écoule du décès du testateur, jusqu'au le règlement prend fin. La succession testamentaire est définie comme l'action d'un individu ou appelé testateur, qui décide volontairement qu'en cas de décès, ses biens soient transférés en tout ou en partie à qui il le souhaite.
Lorsque les héritiers ne sont pas d'accord les uns avec les autres parce que le défunt n'a pas laissé de testament et que des conflits surviennent au moment de la succession pour ne pas savoir qui ils sont et comment l'héritage sera réparti, alors un procès ou une procédure d'homologation peut être mené. division judiciaire de l'héritage. Ce qui est clairement stipulé dans la loi de procédure civile.
Lors de ce procès, ce sera le juge qui déterminera qui va hériter, puis fera l'inventaire de tous les biens et obligations du défunt et procédera à leur remise.
La succession testamentaire se caractérise par: étant personnelle, elle ne peut être déléguée, puisque seul le testateur est celui qui peut rédiger son testament. Il est unilatéral, car il n'est réformé qu'avec la volonté du testateur. C'est individuel, car cela ne peut pas être fait en conjonction avec une autre personne, même si la personne est votre conjoint. Il est formel, car il présente certaines formalités prévues par la loi. Il est révocable, car le testateur peut modifier son testament autant de fois qu'il le juge nécessaire.