Un homme métrosexuel est celui qui a un grand intérêt pour son physique, son apparence et son apparence. Ces comportements qui sont généralement ceux qui sont liés aux femmes qui sont historiquement préoccupés par la beauté des hommes. La métrosexualité est considérée comme un comportement moderne, même si les hommes des dernières décennies ont également fait des efforts pour paraître attrayants, les métrosexuels vont au-delà de la mise en œuvre de traitements et de chirurgie esthétique pour améliorer leur visage et leur corps.
Le métrosexuel ne peut pas être lié à un changement de sexe ou à cause de l'intérêt qu'il peut avoir dans une relation avec une personne du même sexe, généralement l' homme métrosexuel fait tout ce processus avec l'intention de paraître et de se sentir bien dans sa peau. Même s'il est interprété comme un comportement déviant, il ne devrait pas l'être. Les métrosexuels sont ces hommes qui se rendent dans les salons de beauté pour les faire dans les soins capillaires, le visage, la peau en général (surtout le bronzage) et l'esthétique du corps. Ils dépensent beaucoup d'argent non seulement pour cela, mais aussi pour avoir une garde-robe qui convient à leur style de vie.
Le terme est toujours absent des rangs de la RAE, mais on pourrait en déduire qu'il dérive d'une combinaison du préfixe «Metro» qui vient de «Metropolis» qui signifie «Big City» et «Sexual» au vu de la relation entre les comportement Communément associé aux femmes et à son utilisation chez les hommes. Cela a du sens étant donné que les villes à tendance mode, propagande et, incitent la société à faire partie d'une tendance stimulée par les médias et les réseaux sociaux. Un homme créoleLlanero ou forêt n'ont pas ces coutumes car leur lourd travail enracine un comportement plus viril et imprudent avec leur apparence, par contre, les activités qui se déroulent en milieu urbain se prêtent à ce type de modes ou de nouvelles coutumes. La métrosexualité n'est plus un tabou comme elle l'était en son temps, l'idée de vouloir ressembler à un mannequin s'apparente déjà plus à une attente plus collective qu'à une finalité professionnelle.