Tout au long de l'histoire, l' homme a été responsable du développement de différentes techniques propices au développement d'artefacts domestiques. Ces créations, populaires il y a des milliers d'années, restent à ce jour, mais comme un élément décoratif intéressant. L'une de ces activités est la poterie, l'art de concevoir et de créer des récipients en argile ou en argile; Il est né au Paléolithique supérieur, dans de petites représentations de divinités maternelles, comme Vénusmarqué par Dolní Věstonice. De même, le plus ancien navire connu provient de la période Jōmon - l'une des périodes préhistoriques du Japon - d'au moins 10000 ans. Il est à noter que, pour certains céramologues comme Emili Francés Sempere, il est nécessaire de distinguer la céramique, qui combine à la fois la sculpture et la peinture, de la poterie, qui se caractérise par un ton plus populaire et plus pratique.
Même ainsi, les matériaux utilisés dans les deux pratiques se caractérisent par être assez similaires. En poterie, par exemple, un mélange d'eau et d'argile, qui a une consistance presque liquide, est utilisé pour assembler des pièces préalablement fabriquées à la main ou à des fins décoratives, ce que l'on appelle la barbotine. Avec l'évolution des techniques utilisées en poterie, pour la préparation de ce mélange, un procédé chimique appelé lévigation a été mis en œuvre, qui consiste essentiellement en la séparation des mélanges, c'est-à-dire indiquant une dispersion de particules; Ceci est fait afin de rendre la préparation beaucoup plus résistante et durable. Pour ce faire, d'autres composants sont ajoutés, comme l'acide tannique, carbonate de sodium ou silicate de sodium soluble.
Dans l'industrie de la céramique, il est considéré comme très important que la barbotine ne contienne pas de grumeaux, en plus que sa densité doit être adéquate à la création; Pour cette raison, une série de processus sont mis en pratique dans lesquels on cherche à le mesurer avec précision. Dans certaines zones, de la même manière, il est assez fréquent que tous les résidus qui se trouvent au fond du pot et dans lesquels le potier met ses mains soient appelés glissement, pour réduire les frottements lors du moulage des sculptures.