Le mot consentement définit l' action d'approbation ou de «feu vert» pour l'exécution de quelque chose. Par exemple, «J'ai besoin du consentement de mon père pour être en mesure d' avoir un petit ami. » Ce qui signifie qu'en consentant à quelque chose, vous accordez la permission d'effectuer une action. Comme vous pouvez le voir, c'est un terme très appliqué dans la vie quotidienne et dans tous les contextes.
Dans le domaine du droit, le terme consentement a un sens juridique, qui désigne la volonté manifeste entre deux ou plusieurs personnes de consentir à des droits et des obligations. Le consentement est traité dans le droit civil, principalement dans le droit des contrats et des obligations; où il remplit un rôle vital pour l'autonomie de la volonté.
Le consentement dans le cadre du droit civil est une exigence primordiale pour donner la légalité des contrats. Par exemple lors de l'acceptation d'un héritage ou lorsqu'un mariage va avoir lieu.
En droit pénal, le consentement est utilisé comme une arme légale lors de l’exécution de la défense contre la responsabilité pénale ou civile découlant d’un acte punissable. Dans ce cas, le défendeur peut utiliser le consentement comme facteur atténuant, ce qui l’aide à se soustraire à la responsabilité des actes commis, car ils ont été commis avec le consentement de la partie accusatrice.
Pour qu'un consentement soit juridiquement valable, il doit remplir certaines conditions: l'individu doit avoir la capacité d' agir, ce qui signifie que ni les mineurs ni les aliénés mentaux ne peuvent donner leur consentement. Le consentement ne doit pas être obtenu par la menace ou l'intimidation.
Dans le domaine médical, ce terme est également utilisé, étant très important, en particulier lorsqu'un patient doit subir un traitement à risque ou une intervention chirurgicale. Le consentement dans ce cas est un document que le patient ou les membres de sa famille doivent signer, indiquant clairement qu'ils sont d'accord avec ce qui doit être fait et qu'ils comprennent les risques encourus par le patient, mais décident quand même d'assumer. Une fois le consentement signé, le médecin ne peut pas être affecté si quelque chose ne va pas, car le patient et ses proches ont donné leur permission pour mener à bien l'action.